Le Master information et communication est à la fois une formation par et à la recherche en sciences de l’information et de la communication et une formation aux métiers de la communication, du journalisme et de la médiation culturelle.

Les cours sont assurés par des enseignants chercheurs membres du Laboratoire de Recherche sur les espaces Créoles et Francophones (LCF) auquel est adossé le master, ainsi que par des professionnels des métiers concernés, associés au département (PAST à mi-temps) ou en entreprise à temps plein. La grande majorité des enseignements (plus de 80%) est assurée par des titulaires du département, à parité entre enseignants-chercheurs et professeurs associés (PAST).

Une place déterminante est réservée aux stages en milieu professionnel et à la rédaction d’un mémoire de recherche en sciences de l’information et de la communication. La mention est portée par l’unité de formation et de recherche Lettres et sciences humaines de l’Université, elle comporte 910 heures étudiant dont 420 heures dédiées aux stages en milieu professionnel.

Objectifs pédagogiques :

En cohérence avec la refonte de la formation en Licence information et Communication proposée par le Département, la nouvelle offre de formation ménage un équilibre et une complémentarité entre formation par et à la recherche en sciences de l’information et de la communication et formation aux compétences professionnelles propres aux métiers du journalisme, de la communication et de la médiation culturelle. L’objectif pédagogique général de la formation est de former des professionnels compétents, capables de s’insérer dans le marché du travail, mais ayant également développé des capacités d’analyse leur permettant d’envisager de manière distanciée, critique les processus sociaux d’information, de communication, de médiation.

La formation aux compétences professionnelles propres aux métiers du journalisme, de la communication et de la médiation culturelle, est assurée par les trois PAST associés à mi-temps au Département ainsi que par des professionnels exerçant dans les domaines concernés sur le territoire. Elle s’appuie sur les compétences techniques développées dans le cursus antérieur des étudiant.e.s (particulièrement en Licence Information et communication) pour viser des compétences plus stratégiques dans les domaines concernés. Les enseignements professionnels ont été pensés en transversalité et de manière progressive entre les semestres (reportage, stratégies de communication, outils de médiation puis relations presse-communication institutionnelle, stratégie et développement puis enquête et investigation, compétition d’agence, élaboration de projets). Les stages en milieu professionnel occupent une place centrale dans la formation, en M1 comme en M2 et font l’objet d’un accompagnement et d’une évaluation individualisés et au plus proche des compétences professionnelles développées.

Concernant les enseignements en sciences de l’information et de la communication, les enseignants chercheurs ont fait le choix de ne plus dispenser d’enseignement centrés exclusivement sur leurs domaines de spécialités respectifs comme cela est le cas dans l’actuelle offre de Licence. Ainsi les enseignants-chercheurs interviennent à plusieurs dans les mêmes unités d’enseignement afin que les étudiant.e.s puissent acquérir les bases de la mise en œuvre d’une démarche de recherche en sciences de l’information et de la communication en mobilisant les savoirs et méthodes spécifiques à ce domaine scientifique. Lors des trois premiers semestres et de manière progressive sont ainsi dispensés des enseignements relatifs à la méthodologie de la recherche (construction d’un objet de recherche, méthodes de collecte et d’analyse de données, analyse de données d’enquête et rédaction) et des enseignements s’appuyant sur les travaux des enseignants chercheurs de l’équipe pour expliciter les spécificités de la recherche (théories et concepts en sciences de l’information et de la communication, terrains de recherche et descripteurs empiriques, argumentation scientifique). Il s’agit d’optimiser les bénéfices d’une formation par la recherche et à la recherche, soulignée par la dernière évaluation de la formation, ainsi que la réussite des étudiant.e.s dans la rédaction d’un mémoire de recherche en sciences de l’information et de la communication pour lequel ils et elles bénéficient d’un encadrement personnalisé.

Alors que la première année de master articule formation à et par la recherche et formation aux compétence professionnelles, l’organisation pédagogique du master a été repensée en seconde année pour que les étudiant.e.s puissent répondre à la double exigence du master. Cette dernière se traduit par la réalisation d’un mémoire de recherche en sciences de l’information et de la communication (occupant l’essentiel du semestre 3) et la réalisation d’un stage de longue durée en milieu professionnel (occupant l’essentiel du semestre 4)

Opportunités de la formation :

La volonté d’offrir aux étudiant.e.s réunionnais.e.s une formation généraliste en Information, Communication et Médiation culturelle répond à une contrainte pragmatique de notre contexte de formation (insularité, éloignement de l’Hexagone) qui explique la faible mobilité de nos étudiant.e.s. Le territoire offre pourtant un bassin d’emploi réel dans ces trois domaines, alors même que les emplois qualifiés peuvent échapper aux étudiants réunionnais par manque de qualification. Il s’agit là d’une problématique territoriale essentielle à prendre en compte qui inscrit la formation dans un objectif de développement de la professionnalisation des parcours liée aux transitions économiques, écologiques, numériques et sociétales du territoire (actions 4 des axes stratégiques définis par l’Université de la Réunion pour son offre de formation 2026-2030).

Par retour d’expérience, nous constatons que le bassin d’emploi de la zone géographique peut laisser penser que cet aspect généraliste permet aux étudiant.e.s de s’adapter à un environnement professionnel très diversifié et en mutation. L’hyperspécialisation technique dans ces métiers peut très vite s’avérer obsolète.

La quasi-totalité des entreprises réunionnaises de presse, de communication et des institutions de médiation culturelle est en lien direct avec le département d’enseignement, soit sous la forme d’interventions pédagogiques, soit sous la forme de stages conventionnés avec l’Université de La Réunion. Le renforcement de la formation en langue vivante étrangère, suggérée par l’évaluation de la formation, comme le maintien et l’élargissement du réseau de partenaires dans la zone du sud-ouest de l’Océan Indien (Maurice, Madagascar, Comores), de l’Afrique de l’Est (Mozambique en particulier) ou plus largement des rives de l’Océan Indien seront des priorités de la nouvelle offre, visant à élargir le bassin d’emploi potentiel de nos étudiant.e.s.

La formation bénéficie d’un encadrement pédagogique assuré pour la grande majorité par des enseignants titulaires du département, hautement qualifiés, et ayant des domaines de spécialités variés. Cet encadrement offre aux étudiant.e.s la possibilité de personnaliser leurs parcours de formation en fonction de leurs aspirations professionnelles, en bénéficiant d’un suivi individualisé.

Les liens entretenus avec le tissu professionnel du territoire par les PAST et professionnels intervenant dans la formation permettent aux étudiants de pouvoir réaliser dans les meilleures conditions des stages de longue durée en milieu professionnel en M1 (4 à 6 semaines) comme en M2 (8 à 12 semaines). Les étudiant.e.s bénéficient d’un accompagnement personnalisé lors de leurs stages, ce qui permet, au-delà des enseignements dispensés, de répondre à leurs demandes spécifiques de développement de compétences professionnelles. Les stages sont effectués au sein des médias régionaux (Réunion 1^ère bénéficiant d’une convention avec le département, Antenne Réunion, Le Quotidien, IPR, etc…), des agences de communication et de publicité, des services de communication des collectivités territoriales (Région, ONF, Parc National, Réserves naturelles, Département, mairies, etc.), des musées et institutions culturelles (Musée Stella Matutina, Musée Villèle, Maison du Volcan, Muséum d’Histoire naturelle etc….). Des conventions sont par ailleurs établies avec la Direction des Affaires Culturelles de l’Océan Indien et l’Agence Régionale de Santé.

Les enseignants-chercheurs de l’équipe rattachés au pôle Communication, culture, médias du Laboratoire de recherche sur les espaces Créoles et Francophones (LCF) proposent une réelle diversité des domaines de spécialisation (« Espaces publics, médias, flux et réseaux » ; « Culture et processus de patrimonialisation » ; « Sciences, savoirs et société » « Mobilisations, politique et religions »). Cela permet aux étudiant.e.s d’assimiler les apports des sciences de l’information et de la communication en lien avec leurs projets de recherche spécifiques. Le suivi individualisé de la réalisation d’un mémoire de recherche en sciences de l’information et de la communication offre la possibilité aux étudiant.e.s de mobiliser des savoirs scientifiques, en comprenant leurs modes de construction, pour aborder de manière réflexive les processus et les enjeux qui organisent les domaines professionnels dans lesquels ils s’inscriront.

Volume horaire total de la formation : 910 heures étudiants (dont 420h de stages).

La formation vise à former les étudiants aux métiers du journalisme, de la communication, de la médiation culturelle en leur donnant l’opportunité de développer des compétences professionnelles et les conditions réflexives de leur mise en œuvre. Elle se donne comme objectif, grâce à une formation par et à la recherche, de développer l’esprit critique des étudiants quant à leur appréhension des phénomènes sociaux d’information, de communication et de médiation culturelle, leurs historicités, leurs contextes, en particulier autour des usages du numérique et de l’Intelligence artificielle au sein de leurs domaines professionnels.

En lien avec leurs thématiques de recherche, les enseignants chercheurs du département proposent dans l’offre de formation deux unités d’enseignement mineures « Médiations de la culture et des patrimoines » et « Sources ouvertes et communs numériques ».

Les compétences acquises durant cette formation sont conformes à celles de la fiche RNCP

Les blocs spécifiques de compétences visés par la formation sont les suivants :

Mettre en œuvre les usages avancés et spécialisés des outils numériques:

– Identifier les usages numériques et les impacts de leur évolution sur le ou les domaines concernés

– Se servir de façon autonome des outils numériques avancés

Mobiliser et produire des savoirs hautement spécialisés:

– Mobiliser des savoirs hautement spécialisés, dont certains sont à l’avant-garde du savoir dans un domaine de travail ou d’études, comme base d’une pensée originale

– Développer une conscience critique des savoirs dans un domaine et/ou à l’interface de plusieurs domaines

– Résoudre des problèmes pour développer de nouveaux savoirs et de nouvelles procédures et intégrer les savoirs de différents domaines

– Apporter des contributions novatrices dans le cadre d’échanges de haut niveau, et dans des contextes internationaux

– Conduire une analyse réflexive et distanciée prenant en compte les enjeux, les problématiques et la complexité d’une demande ou d’une situation afin de proposer des solutions adaptées et/ou innovantes en respect des évolutions de la réglementation.

 Mettre en œuvre une communication spécialisée pour le transfert de connaissances:

– Identifier, sélectionner et analyser avec esprit critique diverses ressources spécialisées pour documenter un sujet et synthétiser ces données en vue de leur exploitation
– Communiquer à des fins de formation ou de transfert de connaissances, par oral et par écrit, en français et dans au moins une langue étrangère.

 Contribuer à la transformation en contexte professionnel:

– Gérer des contextes professionnels ou d’études complexes, imprévisibles et qui nécessitent des approches stratégiques nouvelles

– Prendre des responsabilités pour contribuer aux savoirs et aux pratiques professionnelles et/ou pour réviser la performance stratégique d’une équipe

– Conduire un projet (conception, pilotage, coordination d’équipe, mise en œuvre et gestion, évaluation, diffusion) pouvant mobiliser des compétences pluridisciplinaires dans un cadre collaboratif

– Analyser ses actions en situation professionnelle, s’autoévaluer pour améliorer sa pratique dans le cadre d’une démarche qualité

– Respecter les principes d’éthique, de déontologie et de responsabilité sociale et environnementale

– Prendre en compte la problématique du handicap et de l’accessibilité dans chacune de ses actions professionnelles.

Sélectionner les dispositifs, outils et techniques dans le domaine de l’information-communication :

– Piloter le choix des techniques de communication et d’éditorialisation dans la diversité de leurs supports (écrit, graphique, audiovisuel, numérique)

– Réaliser et superviser la production de différents supports et outils de communication

Pour les étudiant.e.s se spécialisant dans les domaines de la communication et du journalisme :

Concevoir des politiques et stratégies d’information-communication:

– Appréhender les contextes socio-professionnels, culturels, nationaux et internationaux des acteurs et des organisations en information-communication

– Mobiliser les fondements théoriques en information-communication

– Identifier les stratégies d’alliance, de partenariat et de recommandation

– Développer une réflexion stratégique de communication globale

– Concevoir ou piloter une recommandation stratégique et, ou opérationnelle à l’attention d’un commanditaire dans le champ de l’information-communication.

Piloter des diagnostics en information-communication à des fins d’études ou de recherche:

– Piloter et déployer un plan d’actions de communication en utilisant les outils et moyens adaptés

– Définir et mettre en œuvre une démarche qualité dans le champ de l’information-communication

– Conduire un audit de communication

– Suivre l’état de la recherche et l’évolution de la règlementation en actualisant ses connaissances par une veille dans son domaine

 Conduire un projet en information-communication:

– Coordonner les ressources et les compétences nécessaires à la mise en œuvre d’un projet communicationnel

– Identifier les forces, les faiblesses, les moyens et l’environnement d’une organisation afin de lui permettre d’atteindre ses objectifs

– Concevoir des tableaux de bord et identifier des indicateurs pour évaluer l’efficacité de dispositifs en information-communication

– Appliquer les principes de préparation et de suivi de budgets dans le champ de l’information-communication

– Contribuer à la gestion des ressources humaines (recrutement, formation, prise de responsabilités) et les faire travailler en équipes dans la conduite de projets en information-communication

– Sélectionner et interagir avec des prestataires

– Communiquer et interagir avec les médias

– Respecter les cadres juridiques et les principes éthiques liés aux métiers de l’information-communication, notamment en environnement numérique

Pour les étudiant.e.s se spécialisant dans le domaine de la médiation culturelle :

Administration et gestion de structures:

– Analyser la faisabilité et concevoir un projet culturel, l’argumenter, construire une médiation, construire des interventions face public, en définir les phases, le calendrier et les moyens de mise en œuvre

– Valoriser, sensibiliser et communiquer sur les patrimoines matériels et immatériels versus la diversité des publics (jeunes publics, publics adultes, publics empêchés…)

– Analyser les publics de la culture et les pratiques culturelles (conditions de production et de réception des biens culturels, publics éloignés et publics empêchés en se concentrant sur les dispositifs de médiation).

Conception, élaboration et planification de projets de médiation culturelle:

– Identifier les différents types de médias, spécialisés dans la culture, les arts, les sciences

– Analyser les relations arts-sciences sous l’angle des processus de recherche, de découverte et de création

– Étudier la médiation culturelle dans ses aspects les plus généraux (historique de la médiation ; médiation et territoires sensibilisateurs et sociétaux ; médiation, médiateurs et espaces intermédiaires).

Valorisation des patrimoines culturels et médiation:

– Médier les savoirs (approches formelles et  informelles) et sensibiliser aux connaissances spécifiques

– Développer une médiation scientifique adaptée et souvent spécifiques de la médiation scientifique en vue d’une mise en culture des Sciences  (Jean-Marc Levy-Leblond) (approche historique et problèmes théoriques, dispositifs contemporains de   médiation de la science et leurs enjeux)

– Concevoir et organiser un cycle de conférences et de débats, une animation, un atelier, un dispositif de  médiation, et mettre en œuvre un dispositif d’évaluatio

Stage en milieu professionnel en M1 (4 à 6 semaines)

Stage en milieu professionnel en M2 (8 à 12 semaines)

Les droits d’inscription sont arrêtés, chaque année, par le Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Espace et sont disponibles sur le site internet de notre établissement : S’inscrire à l’Université de La Réunion

• Avoir un bon niveau académique, voire démontrer d’une progression au cours des études supérieures.
  Maîtrise des cadres théoriques et conceptuels dans les domaines des théories de l’Information et de la Communication, de la sociologie des médias, de la médiation culturelle, de la communication.
• Faire preuve de capacités d’analyse et de rédaction.
  Savoir se servir aisément des différents registres d’expression écrite et orale de la langue française;
  Savoir mobiliser des outils méthodologiques (analyse de discours, analyse sémiotique, approche ethnographique etc…) permettant d’analyser et de comprendre les productions médiatiques et les phénomènes de communication au sein de l’espace public.
• Être autonome, impliqué et rigoureux.
• Démontrer d’une cohérence entre le projet académique du candidat et la formation.
• Promouvoir la diversité de ses expériences et de son parcours. Les expériences ou stage(s) dans les métiers de l’information et de la communication seront appréciés.

• Une attention particulière sera apportée aux notes des différentes années du cursus post-bac du candidat et en particulier en Licence information et communication mais plus largement en sciences humaines et sociales
• Le projet de formation proposé par le candidat sera l’occasion pour lui de démontrer ses qualités académiques.
• Une lettre de motivation précisant le projet de formation en cohérence avec la formation sont attendus.
• Les éventuelles appréciations annuelles du candidat par ses formateurs seront un atout.

Licence en sciences de l’information et de la communication.

Suivant la situation de l’étudiant, les candidatures pour intégrer la première année de Master (M1) se déroulent selon trois procédures spécifiques (la plateforme nationale MonMaster, Études en France, Validation des acquis). Pour plus de renseignements, vous pouvez consulter la page de la scolarité de l’université : S’inscrire en première année de Master

Baccalauréat + 3 ou équivalent

Étudiants diplômés d’une Licence en sciences de l’information et de la communication ou plus généralement en sciences humaines et sociales attestant d’un intérêt pour les métiers de la communication, du journalisme ou de la médiation culturelle.

25 places

Les dates d’admission en première année du diplôme de Master (M1) sont arrêtées au national chaque année et sont disponibles sur la plateforme Mon Master 

Pour l’admission en deuxième année du diplôme de Master (M2), le calendrier est arrêté par l’établissement. Il est disponible sur la page de la scolarité du site de l’université : Étudiants en réinscription

EN 2023-2024 :

M1 : 83 %

M2 : 82 %

à venir

Une poursuite en Doctorat en sciences de l’information et de la communication est envisageable.

Les étudiants concernés sont invités à réaliser leur stage en milieu professionnel de M2 au sein du Laboratoire de recherche sur les espaces créoles et francophones (LCF), ce qui leur permet de préparer leur projet doctoral.

Les secteurs d’activité et les types d’emploi visés par cette formation correspondent à ceux inscrits dans la fiche RNCP

• Conseiller ou consultant en communication
• Chargé de communication externe et, ou interne
• Responsable de communication externe et, ou interne
• Responsable des relations externes, internes, des relations publiques ou des services de presse
• Webmaster éditorial. (entreprises, collectivités)
• Community manager
• Chef de projet multimédia et, ou audiovisuel
• Responsable ou chef de projet webmarketing
• Webdesigner
• Journaliste
• Chargé de médiation culturelle dans des structures privées ou publiques
• Responsable relations publiques, presse et médiation
• Au sein de Centres de culture scientifique, technique et industrielle : responsable des activités scolaires et des formations, médiateur scientifique, direction ou adjoint de direction
• Chef de service communication institutionnelle privée ou publique
• Chargé de mission éducation artistique et culturelle
• Adjoint à la direction de l’accueil et des relations avec les publics
• Chargé de développement culturel
• Chef de projet artistique, scientifique et de médiation
• Administrateur de festival ou d’équipement culturel
• « Regissor » culturel
• Consultant en ingénierie culturelle
• Chargé de valorisation des patrimoines