PLANTIN

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Date de début : 16/11/2020

Date de fin : 15/12/2022


Financement FEDER (Programme Opérationnel FEDER ÎLE DE LA REUNION 2014-2020) :

Budget total du projet : 956128,23€

Montant du financement FEDER total : 764902,59€ UE FEDER

Montant du financement autre que FEDER total : Région : 95612,82€ / CPN Etat : 95612,82€


Présentation, objectif(s) :

La finalité du projet PLANTIN est de faire un état des lieux des plantes tinctoriales de La Réunion et de valider le concept d’utilisation des colorants et pigments naturels extraits de la biodiversité terrestre réunionnaise pour ouvrir des perspectives de valorisation économique pour le territoire, afin de proposer de nouvelles sources naturelles de colorants qui pourront être appliquées dans les industries textiles, agro-alimentaires, cosmétiques et/ou pharmaceutiques. Le projet, porté par le laboratoire CHEMBIOPRO de l’Université de La Réunion en collaboration avec différents partenaires, ambitionne d’inventorier et de cribler les plantes tinctoriales de La Réunion et de sélectionner une dizaine d’espèces pour évaluer les potentialités tinctoriales (teinture de textiles et fibres naturelles par les colorants extraits des plantes), biotechnologiques dans le domaine de la coloration industrielle (production d’un nouveau colorant alimentaire, coloration des produits cosmétiques, produits à usage pharmaceutique) et les activités pharmaco-toxicologiques des pigments extraits de ces plantes.

  • Objectif 1 : Découvrir la richesse en plantes tinctoriales de La Réunion et en estimer le gisement
  • Objectif 2 : Extraire les colorants des écorces, feuilles, etc., étudier le rendement en extraits colorants, analyser leur « pouvoir colorant » et la stabilité de la coloration, afin de sélectionner une dizaine de plantes d’intérêt
  • Objectif 3 : Caractériser plus finement les propriétés physico-chimiques et pharmaco-toxicologiques des extraits colorants des plantes d’intérêt pour retenir 3 extraits colorants cibles avec un potentiel de valorisation économique pour le territoire
  • Objectif 4 : Promouvoir des applications nouvelles et innovantes de ces plantes tinctoriales de La Réunion en vue de soutenir leur possible utilisation dans les différents domaines d’application visés. Mener une étude de marché pour identifier les perspectives idoines.

Les partenaires de l’opération

  1. laboratoire CHEMBIOPRO, UMR Détroi)
  2. Université de Montpellier (UMR QualiSud)
  3. CBNM Mascarin,
  4. Pole Qualitropic
  5. CYROI Réunion
  6. Université de Reims
  7. Institut ICMR Reims.

Le site internet

Les arts dans le paysage

Arts décoratifs Nous connaissions le paysage comme sujet d’une œuvre mais le paysage comme support, ou même médium de l’œuvre, voilà qui change tout ! Depuis les années 1970, des artistes ont à cœur de réconcilier la pratique artistique avec celle de la nature, de renouer avec l’essence même de la vie pour l’insuffler dans leurs œuvres. Découvrons ensemble les réalisations souvent époustouflantes de hardiesse et de finesse des artistes du Land Art, laissons-nous surprendre par des anamorphoses spectaculaires et finalement regardons les paysages comme nous ne les avions jamais vu. De quoi inspirer quelques jolies promenades estivales…

Gratuit – sur réservation

Cinécampus : Dark Water

Fantastique, épouvante-horreur | 2003 | Hideo Nakata | 1h40

En instance de divorce, Yoshimi et sa fille de six ans Ikuko emménagent dans un immeuble vétuste de la banlieue de Tokyo. Alors qu’elles tentent de s’acclimater à leur nouvelle vie des phénomènes mystérieux se produisent. Qui est cette fillette en ciré jaune qui se promène dans les couloirs ? Pourquoi un petit sac pour enfant rouge ne cesse d’apparaître entre les mains d’Ikuko ? Quelle est l’origine de ces ruissellements qui s’étendent sur les murs et le plafond de leur appartement ? Une menace venue de l’au-delà va tenter de séparer la mère de sa fille.

Gratuit – sur réservation

Kabar fonnkèr 2 lang Récital poétique bilingue (labellisé Festival de la Francophonie 2024)

Dans ce kabar fonnkèr, on peut venir dire un texte, en français, en créole, dans une autre langue…

Mêmes ceux qui n’écrivent pas peuvent participer en piochant dans une corbeille de chansons des ségas transcris et traduits par les étudiants de licence suivant la mineure créole.

Rendez vous le 26 mars dès 18h00 à la Bibliothèque Droit-Lettres – collection océan Indien – Campus du Moufia

Workshops « Création BD »

Tu peux participer à 1 ou 2 workshops (à chaque workshop, un dessinateur différent !).

Jeudi 28 mars de 12h00 à 14h00 : Robin Kapik et Sara Quod

Jeudi 25 avril 12h00 à 14h00 : Robin Kapik et un dessinateur (en cours de confirmation)

BU Saint-Denis Droit-Lettres – Campus du Moufia

Gratuit sur inscription

Nos professionnels (scénaristes et dessinateurs) peuvent aussi vous accompagner si vous souhaitez participer au concours de bande dessinée du CROUS (3 prix à gagner : 2000€, 1000€ et 500€)

Sensibilisation  » Risques en milieux festifs »

La fête permet à chacun de tester ses limites, prendre des risques, vivre autrement la relation à l’autre, vivre des sensations exacerbées, expérimenter les plaisirs… mais elle peut aussi entraîner des prises de risques :

  • consommations d’alcool et de produits psycho-actifs importantes et/ou mal maîtrisées,
  • conduite en état d’ivresse ou sous stupéfiant,
  • relations sexuelles non-protégées,
  • risques auditifs liés à la proximité et à l’exposition prolongée aux sources sonores,
  • agressions, discriminations, violences sexistes et sexuelles.

Il est de la responsabilité des organisateurs et organisatrices de prévenir et réduire les risques induits par leurs festivals. Il s’agit concrètement de :

  • Prévenir et informer sur les risques liés aux violences, aux usages de substances psychoactives (tabac, alcool, cannabis, ecstasy…) et aux risques associés (écoute de musique amplifiée, conduite de
    véhicules).
  • Réduire les risques et les dommages liés à la consommation, aux relations sexuelles (VIH, MST, IST, hépatites…) et aux autres comportements dangereux, et pouvoir mettre en sécurité les éventuelles victimes ou personnes en danger

Nous vous attendons donc nombreux et nombreuses :

Mardi 25 mars à 11h00

Parvis de la BU – Campus du Tampon

On vous attend nombreuses et nombreux !

Appel à communications – Journées économiques des outre-mer

Dispersés sur trois océans, vestiges de la colonisation devenus des enjeux stratégiques majeurs, les territoires d’outre-mer français constituent autant de situations économiques et sociales complexes. Pour améliorer leur avenir, il faut comprendre leur fonctionnement d’aujourd’hui déterminé tout à la fois par leur histoire, les contraintes et opportunités de leur géographie, leurs liens avec la métropole et les relations qu’ils entretiennent avec leur environnement régional. La compréhension des économies d’outre-mer ne peut naître que de travaux aussi divers et complémentaires que les questions abordées lors des Actes de la Recherche UltraMarine (ARUM).

La conférence ARUM 2024 aura lieu les 14 et 15 novembre à Paris (CESE) et elle s’inscrit dans le cadre des Journées Economiques des Outre-Mer.

Comment participer à la conférence ARUM

Soumissions attendues : Toute contribution académique originale portant sur l’un de ces thèmes
Modalités de soumission : Les propositions devront prendre la forme soit d’un papier intégral, soit d’un résumé long (3 pages) en français ou en anglais. Elles seront examinées par le comité scientifique.

Les propositions doivent être soumises au format pdf en ligne sur le site : https://arum2024.sciencesconf.org/

Dates importantes :

  • Date limite de réception des propositions : 7 juin 2024
  • Décision du comité scientifique aux auteurs avant le 12 juillet 2024
  • Date limite de réception de la version intégrale des articles acceptés : 11 octobre 2024
  • Conférence ARUM : 14 et 15 novembre 2024

Plus d’informations

Séminaire de psychologie

Rencontre et relation d’aide dans la pratique clinique du psychologue Mme Geneviève Payet, Psychologue Clinicienne, Présidente d’Honneur du Réseau VIF

Il y a de la relation d’aide parce qu’il y a de la relation, il y a de la relation parce qu’il y a de la rencontre. La clinique entretient un rapport difficile et complexe avec ce qui se joue dans la rencontre (la manière dont on s’y implique ou pas, et la manière dont on peut en rendre compte). Elle interroge les dynamiques de l’intersubjectivité, son expression, ses modalités, son utilité, son contenu, tout ce qui fait mouvement. Et, parallèlement, la clinique est à l’écoute de tout ce qui fait signe, clairement ou obscurément, dans l’espace et le temps où peut se déployer la compréhension entre soi et soi-même, soi-même et l’autre. C’est ainsi que la pratique clinique du psychologue permet de repérer comment voir et donc entendre, de se repérer aussi dans ce qu’il y a à faire pour aider l’autre à se dire et potentiellement contribuer à ce qu’il se (re-)trouve.

Entrée libre et gratuite

Coordination : Rachid Oulahal – Université de La Réunion – Laboratoire DIRE

rachid.oulahal@univ-reunion.fr

« Arthopédique »

Les bibliothèques universitaires et Alexandra Leperlier ont le plaisir de vous proposer l’exposition : ARTHOPÉDIQUE

Rencontre de l’art et de la médecine

du 4 mars au 5 avril 2024

Bibliothèque Universitaire de Terre-Sainte

Avant-propos d’Alexandra Leperlier

Cette exposition est le fruit d’heures de recherche, avec l’aide de nombreux chirurgiens et autres praticiens qui m’ont ouvert et transmis leurs passion. Je souhaiterais transmettre à tous la beauté de notre corps dénué de chairs. L’orthopédie est un sujet que j’affectionne tout particulièrement. Effectivement c’est au cours de soucis de santé que mon envie d’approfondir cette spécialité est née.

Comprendre, rechercher, étudier, lire, m’ont amené à peindre ces parties de notre anatomie tant étudier déjà mais je voulais à ma façon la rendre plus belle et spectaculaire avec ces membres sain et ces membres réparés par cette médecine si novatrice.

Lors de cette exposition vous trouverez des planches anatomiques un travail artistique voué à l’étude scientifique et l’apprentissage des supports indispensables à la bonne compréhension de cette machine incroyable qu’est notre corps.

Remerciements :

« Cette exposition n’aurait pu voir le jour sans le soutien des chirurgiens orthopédiques et pédiatriques et le personnel hospitalier du CHU sud Réunion, mais avant tous grâce au soutien du CHU de la Réunion représenté par Mme Wadel qui a cru en mes travaux. »

Alexandra sera présente à la bibliothèque pour répondre à vos questions le vendredi 8 mars de 14h00 à 15h00 et le vendredi 15 mars de 10h00 à 11h00.

KISANOULÉ BANN ZARAB

Les bibliothèques universitaires et la Maison de l’Héritage du Gujarat ont le plaisir de vous proposer l’exposition :

KISANOULÉ BANN ZARAB Zarab et Karane : composante gujarati de La Réunion

du 1er mars au 24 mai 2024

Bibliothèque Universitaire Saint-Denis Droit-Lettres

La Maison de l’Héritage du Gujarat est un centre d’interprétation historique en cours de conception, basé à Saint-Pierre, qui propose de retracer l’épopée de l’immigration des Réunionnais originaires du Gujarat (Inde).

En savoir plus

Les Réunionnais que l’on appelle « Zarab » ou « Karane » sont les descendants des migrants originaires du Gujarat au XIXe siècle. Depuis l’Antiquité, cette région de la côte nord-ouest de l’Inde est un grand carrefour commercial dont les réseaux marchands s’étendent des côtes est-africaines aux sud-est asiatiques. Les marchands du Gujarat, regroupés en castes, sillonnent les mers de l’océan Indien et exportent depuis des millénaires des tissus de qualité exceptionnelle grâce à la production de coton.

C’est à partir de 1850 que les premiers Gujaratis prospectent les possibilités commerciales de La Réunion depuis l’île Maurice. Ils sont employés de grandes firmes d’import-export du Gujarat. Les pionniers de cette nouvelle immigration vont servir de tête de pont à la venue de nouveaux membres. Ce sont de jeunes hommes libres de tout engagement, venus en travailleurs indépendants. Après plusieurs années d’aller-retour entre les deux îles, les immigrés gujaratis manifestent leur volonté de s’établir définitivement à La Réunion. Vilipendés par la presse locale, leur insertion au sein de la société ne se fera pas sans difficulté.

L’installation des Gujaratis à Madagascar est à la fois plus ancienne et plus représentative de la diversité ethno-religieuse de leur terre d’origine. Ils empruntent des routes maritimes historiques indo-arabes passant par l’Afrique de l’Est qui conduisent au nord-ouest de Madagascar, pointe ultime de l’influence culturelle musulmane dans l’océan Indien. S’ils suivent un parcours commercial et familial très semblable à ceux de La Réunion, ces Gujaratis que les Malgaches désignent comme « Karanes » et « Banians » sont divisés en 5 communautés aux identités marquées : Bohras, Khodjas Ithna Ashery, Khodjas Aga-khaniste, Sunnis et Hindouistes. Arrivés massivement sur la Grande Ile au XIXe siècle, ils émigrent nombreux à La Réunion à partir des années 1970.