Rencontre scientifique à la BU Droit-Lettres

Première rencontre scientifique à la BU
Mardi 16 septembre de 12h00 h à 13 h00 en salle Modulo (au 3e étage BU Saint-Denis Droit Lettres).

« Empires et modernité »
par Indravati Félicité, autour de son ouvrage  » Le Saint-Empire face au monde : Contestations et redéfinitions de l’impérialité XVe-XIXe siècle » publié en 2024 aux éditions du CNRS, issu des travaux de son Habilitation à Diriger des Recherches.

Professeur des universités en Histoire Moderne à l’université de La Réunion, Indravati FELICITÉ a soutenu son Doctorat en Histoire moderne (Sorbonne-Université) en 2012 et son HDR en Histoire Moderne (Sorbonne-Université) en 2021. Aujourd’hui, ses recherches portent sur : Histoire globale ; Histoire des relations internationales et interculturelles ; Histoire connectée ; Histoire diplomatique ; Histoire de l’Europe et du Nord et de l’Allemagne.

Rentrée des étudiants internationaux

Plus grande Université française et européenne de l’océan Indien, l’Université de La Réunion (UR) se distingue par son haut niveau d’internationalisation, avec 1084 étudiants issus de 67 nationalités inscrits pour l’année universitaire 2024-2025, et déjà 454 étudiants de 39 nationalités inscrits pour l’année universitaire qui débute (les inscriptions étant toujours en cours).

Ce jeudi 4 septembre, l’établissement a organisé une journée d’accueil dédiée à ces étudiants internationaux, toujours plus nombreux, témoignant de l’attractivité de son offre de formation à l’étranger et du dynamisme de ses programmes d’échanges.

Cette année, l’accueil des étudiants internationaux s’est articulée autour de plusieurs temps forts parmi lesquels un un accueil institutionnel et une présentation de l’établissement, un village de stands présentant les facultés, directions, services et partenaires, ainsi que des jeux pour mieux connaître La Réunion.

Un accueil sur mesure

Cet événement de rentrée, moment privilégié d’échanges, a pour objectif de donner à ces étudiants venus du monde entier toutes les clés pour réussir leur année universitaire. Sont présentés les priorités de l’établissement, les facultés, directions et services universitaires ainsi que les loisirs et activités disponibles sur leurs campus.

La qualité de l’accueil constitue l’une des priorités de l’Université, labellisée « Bienvenue en France ». Ce label distingue les établissements offrant une information accessible et de qualité aux étudiants internationaux, des dispositifs d’accueil dédiés, un accompagnement dans les enseignements et une vie de campus épanouissante.

L’université a mis en place de nombreuses initiatives afin de faire du séjour de ses étudiants internationaux une réussite : campus d’intégration linguistique, mise en relation avec des étudiants «ambassadeurs internationaux », système de parrainage, activités tout au long de l’année en partenariat avec des associations étudiantes… L’établissement déploie tous ses efforts pour offrir aux étudiants internationaux une expérience universitaire unique.

Pour cette rentrée, les partenaires locaux privilégiés de l’Université se sont également mobilisés (Préfecture, Région Réunion, CROUS… ), aux côtés des consuls des différents pays présents sur le territoire.

Cette année, les pays les plus représentés au sein de l’établissement sont Madagascar (73 étudiants), l’Allemagne (73 étudiants) et les Comores (46 étudiants). A noter également : l’établissement a le plaisir d’accueillir cette année deux étudiants d’Afrique du Sud, un Bolivien et un Haïtien.

Fonds nationaux et européens : plus de 1,6 millions d’euros en soutien à la politique partenariale de mobilité

La politique partenariale de mobilité de l’Université de La Réunion se mesure à la diversité des 26 programmes d’échanges proposés aux étudiants (Erasmus+, Asia Exchange, ISEP, DAAD, PPI, BCI, Programme REUNION…), ainsi qu’au bon usage des fonds qui lui sont alloués. L’établissement soutient cette politique de partenariats régionaux, européens et internationaux de mobilité grâce à l’obtention d’enveloppe auprès de différents bailleurs, notamment nationaux (Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères pour le campus Franco-Indien ILIADE et le programme de mobilités croisées avec l’Afrique, Agence Française de Développement et Expertise France) et européens (Erasmus+, INTERREG VI Océan Indien). Ainsi, à titre d’exemple, l’établissement est bénéficiaire d’une enveloppe ERASMUS + pour la mobilité intra européenne de plus 800 369 euros et de 750 842 euros pour la mobilité hors Europe.

Soutien au rayonnement régional de l’établissement

Œuvrant notamment à l’intensification de la mobilité étudiante dans son bassin océanique, l’Université poursuit son programme REUNION II ainsi que son programme de « mobilité croisée » avec l’Afrique.

Financé par des fonds INTERREG VI Océan Indien et soutenu par la Région Réunion, le programme REUNION II, qui s’inscrit dans la stratégie indopacifique de la France, est étendu à l’année universitaire 2025-26. Pour mémoire, ce programme vise à financer des mobilités à destination des étudiants et du personnel des établissements d’enseignement supérieur de la zone du Grand Océan Indien. Son objectif est de renforcer les partenariats universitaires, d’améliorer les compétences et qualifications des participants, tout en facilitant l’accès à une formation de haute qualité.

Par ailleurs, le programme de mobilité croisée avec l’Afrique, initié par le Ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères afin de renforcer la mobilité et les échanges entre le continent africain et la France, se poursuit avec Madagascar. Il vise à contribuer à l’avancement scientifique des pays participants en finançant des échanges de courte durée pour des étudiants de deuxième cycle, dans des domaines thématiques d’intérêt mutuel.

Cette année, ces deux programmes permettront à 18 étudiants de la zone océan Indien d’effectuer, dans chacun des d’accueil, une mobilité d’études ou de stage reconnue dans l’établissement d’origine.

L’Université de La Réunion poursuit également son programme de mobilité en proposant des bourses d’excellence Horizon (BEH). Financé sur fonds propres, ce programme permet à des étudiants d’excellence en provenance de 16 pays partenaires de la zone océan Indien de venir étudier dans l’un des Masters 2 de l’UR et d’obtenir un diplôme reconnu en France, en Europe et à l’international. Ce programme, qui s’inscrit pleinement dans la stratégie de coopération régionale de l’UR, s’adresse en particulier aux étudiants qui ambitionnent de poursuivre leurs études en doctorat, de préférence en cotutelle au sein de l’établissement.

Pour cette rentrée universitaire, 9 étudiants bénéficiaires de la bourse BEH sont accueillis.

Enfin, pour cette nouvelle mandature, l’Université de La Réunion ambitionne de développer les mobilités internationales des étudiants, sans oublier celles liées à la recherche. L’accent sera ainsi mis sur l’accompagnement des doctorants et post-doctorants en mobilité, tant dans la zone océan Indien qu’en Europe et à l’international.

Nous, les portraits

Pendant une année, la collection du Frac Réunion s’invite dans les espaces de la Bibliothèque universitaire Droit-Lettres du campus du Moufia à l’Université de La Réunion. L’exposition Nous, les portraits est une étape supplémentaire dans ce dialogue engagé en 2021 entre les deux institutions, pensée pour interroger la manière dont les images nous regardent autant que nous les regardons.

Cette exposition réunit les œuvres de Farah Al Qasimi, Samuel Fosso, Pieter Hugo, Alice Mann, Mary Sibande & Gabrielle Manglou.
DU 28 AOÛT 2025 AU 03 JUILLET 2026 BU DROIT-LETTRES – CAMPUS DU MOUFIA
Du lundi au vendredi, de 07h30 à 19h00 ; Le samedi, de 08h00 à 12h00


Le portrait n’est jamais un. Il est toujours affaire de relation, de construction, de pouvoir et de stratégies de résistance. Il commence là où deux présences se croisent — le regardant et le regardé — mais convoque davantage : les régimes d’image, les mythologies collectives, les écarts au réel, les fictions à venir. Il est un genre qui ne cesse de se réinventer, parce qu’il touche à ce que nous avons de plus fragile et de plus politique : l’image de soi dans le regard de l’autre, et inversement.

Le portrait nous renvoie sans cesse à ce mouvement d’échange, de glissement entre les places assignées. Je suis celui qui regarde, celui qui est regardé, celui qui cadre, celui qui pose. Et l’autre, tour à tour, peut être celui qui me dévisage, qui me précède, qui m’imagine ou qui me dévoile. Il n’y a pas de position stable dans l’image. Le portrait, toujours, déplace les frontières entre je et tu, entre sujet et objet, entre fiction assumée et vérité projetée.

Dans les photographies de Pieter Hugo, issues de la série There’s a Place in Hell for Me and My Friends, le portrait devient un lieu de tensions visibles. Les visages de Lebo Tlali et de Jake Aikman, proches et silencieux, sont le support d’une opération radicale : par la manipulation des canaux couleur, Hugo neutre la carnation pour mieux en révéler les variations, les marques du soleil, les couches de mélanine. Ce travail renverse l’idéologie raciale fondée sur la couleur de peau. Là où la photographie a longtemps servi à classifier les corps, à construire des typologies racistes, Pieter Hugo en fait un outil de révélation inversée. Il montre que la peau n’est jamais noire ou blanche, mais toujours mélangée, marquée, altérée — et que le regard n’est jamais neutre. Ces images ne documentent pas simplement des visages : elles documentent notre manière de les regarder. Ce trouble du regard traverse toute l’exposition. Parfois, le portrait se retourne contre le photographe.

Dans Chloé Heydenrych, Paige Titus, Ashnique Paulse, Elizabeth Jordan and Chloéde Kock d’Alice Mann, cinq jeunes filles, drum majorettes sud-africaines, nous fixent depuis un point de vue en contre-plongée. L’objectif est clairement dominé. Ce choix de cadrage renverse l’asymétrie du portrait traditionnel : l’image devient un territoire de puissance, de sororité, de visibilité assumée.
Et parfois encore, le portrait surgit là où il semble avoir disparu. After Dinner de Farah Al Qasimi montre un intérieur saturé de textures, de motifs, de couleurs. Deux corps sont dans le champ, mais aucun visage. Et pourtant, l’image déborde de présence : les postures, les accessoires, les atmosphères construisent un portrait sans visage, mais pas sans identité. L’artiste défait les attentes du genre pour mieux révéler ce qu’il contient d’imaginaire et de contrôle.

Mary Sibande, elle, se glisse dans son propre portrait par procuration. Avec I’m a Lady, elle convoque un alter ego sculptural, Sophie, entre domestique et impératrice, mémoire coloniale et réinvention visuelle. À travers cette figure théâtralisée, l’artiste performe un autoportrait fictionnel, où la revendication d’un autre rôle passe par le costume, la posture et le symbole. À travers ce double, elle ne se représente pas : elle se rejoue. Le portrait devient une construction stratégique, où l’identité se performe à distance, entre mémoire subie et rôle choisi.

Un autre jeu est à l’œuvre avec les rôles et les archétypes au cœur de la série Tati de Samuel Fosso. Le pirate, Le maître nageur, L’homme d’affaire : autant de figures stéréotypées que l’artiste incarne dans un geste critique et jubilatoire. La satire visuelle est grinçante, l’humour devient outil politique. Les portraits sont joyeux et colorés, évoquant une mascarade subversive, où l’artiste décline les figures imposées par la société. Derrière cette apparente légèreté se profile un travail hautement critique : Fosso interroge la manière dont
les identités sont fabriquées, vendues, consommées.

Enfin, Gabrielle Manglou convoque un autre fantôme du portrait photographique : celui de l’archive coloniale. À partir d’une photo de famille ancienne, elle augmente l’image en y insérant d’autres figures, des motifs colorés, des gestes décalés. Voler dans les plumes devient un contre-portrait, un geste de réparation symbolique face à l’appauvrissement iconographique des peuples colonisés. Derrière la photo figée, elle fait ressurgir une multiplicité de récits et de présences invisibles.

Dans ces œuvres, le portrait n’est jamais simple représentation. Il est trouble, jeu, réappropriation, fiction critique, lieu de mémoire. Il n’est pas un miroir, mais un prisme — un espace où les identités se déplacent, se rejouent, se mettent en scène. Ensemble, ces portraits forment un “nous” composite, un “nous” qui échappe aux assignations, qui habite l’image sans s’y enfermer. Nous, les portraits, c’est dire que chaque visage est un monde, un espace, une fabrique d’altérité.

Anna Vrinat

Le patrimoine naturel de l’océan Indien

L’association BEST-RUN et les bibliothèques de l’Université de La Réunion ont le plaisir de vous proposer :

Exposition du concours photographique
Le patrimoine naturel de l’océan Indien
Du 1er septembre au 31 octobre 2025
Bibliothèque Universitaire Saint-Denis Droit-Lettres (campus du Moufia)
Salle océan Indien

Organisée par l’association BEST-RUN, cette exposition vise à mettre en avant le patrimoine naturel réunionnais à travers l’œil des étudiants de l’université de La Réunion.

Parmi l’ensemble des photos reçues, 15 ont été sélectionnées par thème (terrestre et marin) par un jury, soit un total de 30 photos.

Quelle que soit la muse du photographe, végétale, animale, allant d’une mousse à une baleine à bosse, venez découvrir les plus beaux clichés reçus !

Prix du roman Métis des Etudiants 2025 : deviens juré !

Connaissez-vous le Grand Prix du Roman Métis ?

Il s’agit d’un prix littéraire international remis chaque année depuis 2010. Il récompense un roman francophone publié depuis moins d’un an et soulignant les valeurs du métissage, de la diversité et de l’humanisme.

Les organisateurs de ce prix sont : la Ville de Saint-Denis de La Réunion, l’association La Réunion des Livres et la Direction des Affaires Culturelles de La Réunion avec le soutien de la région Réunion et de la Sofia.

Depuis 2011, l’institution décerne également chaque année le Prix du Roman Métis des Lycéens.

Cette année, les organisateurs vous proposent la deuxième édition du :

Prix du roman métis des étudiants

Tous les étudiants inscrits dans un établissement d’enseignement supérieur à La Réunion peuvent s’inscrire pour être juré via ce formulaire en ligne. Une copie de la carte étudiante en cours de validité (2025-2026) sera demandée.
 

Inscription possible jusqu’au 31 octobre 2026 – 23:59.

Les jurés auront trois ouvrages (fournis par l’organisation) à lire avant le 26 janvier 2026.
Les jurés s’engagent à voter pour leur ouvrage préféré.

Règlement du Prix du Roman Métis des Etudiants.

Des archéologues à travers l’objectif

La Direction des Affaires Culturelles de La Réunion et les bibliothèques de l’Université de la Réunion ont le plaisir de vous proposer l’exposition :

Des archéologues à travers l’objectif
Série : Les métiers et les outils des archéologues
En collaboration avec les photographes Eliza et Luca Giussani

Du 1er septembre au 31 octobre 2025
Bibliothèque Universitaire Saint-Denis Sciences – Campus du Moufia

Dans le cadre de l’exposition « Des archéologues à travers l’objectif » :

CONFÉRENCES :

Entrée libre et gratuite – sans réservation

L’exposition

Des archéologues à travers l’objectif est une expérience unique qui nous plonge au cœur du monde passionnant de l’archéologie. Elle est le fruit de la collaboration entre le Département de La Réunion, l’Institut national de recherches archéologiques préventives, la Direction des Affaires Culturelles et les talentueux photographes Eliza et Luca Giussani (www.dcvisuals.fr). Cette exposition itinérante s’inscrit dans le cadre des fouilles archéologiques préventives préalables à la transformation du musée de Villèle (Saint-Paul) en musée de l’habitation et de l’esclavage.

Les photographies plongent le public dans l’intimité du travail des archéologues et les coulisses de cette discipline scientifique. À travers cette approche artistique, ils offrent un angle inédit pour explorer l’histoire et le patrimoine archéologique de la région, mettant en évidence les gestes et compétences de l’archéologue.

Transformation du Musée de Villèle et archéologie

Situé sur un ancien domaine sucrier ayant appartenu à Mme Desbassayns, dans la commune de Saint-Paul, le Musée historique de Villèle, dont les bâtiments qui l’accueillent sont classés monuments historiques, fait l’objet d’un vaste programme de construction et de réaménagement à l’instigation du Conseil Départemental de La Réunion, propriétaire des lieux.

Ce projet va permettre de le transformer en musée de l’habitation et de l’esclavage, avec la création d’un parcours muséographique s’appuyant sur les témoignages architecturaux, archéologiques et paysager du site. Cette nouvelle orientation donnera un second souffle au musée et mettra en valeur les singularités architecturales, sociales et historiques du lieu. Le choix du lieu pour ce programme ambitieux porté par le Département n’est pas dû au hasard. Cette habitation (vaste propriété au sens créole du terme) est un lieu emblématique de l’île de par son rayonnement et son histoire depuis sa création. Depuis l’achèvement de la maison des maîtres en 1788, le domaine n’a fait que s’agrandir pour obtenir les « dimensions » idéales d’une exploitation sucrière.

Avant ce nouveau départ du Musée, la plus importante fouille préventive prescrite pour les territoires ultramarins se déroule entre 2022 et 2024. Prescrite par l’État, elle est réalisée par l’Inrap sous la maîtrise d’ouvrage du Département.

Exposition visible du 01er septembre au 31 octobre 2025
du lundi au vendredi de 07H30 à 19H et le samedi de 12H00 à 17H00
Entrée libre et gratuite

Vectora, éclats créoles

Les bibliothèques universitaires de La Réunion et Yohann Turpin, illustrateur, ont le plaisir de vous présenter l’exposition :

Vectora : éclats créoles
par Yohann Turpin, illustrateur
Bibliothèque Universitaire du Tampon
du 25 août au 31 octobre 2025

Présentation de Yohann Turpin et de son travail artistique :

Étudiant en licence Administration Économique et Sociale (AES) à l’Université de La Réunion, Yohann Turpin nourrit une passion pour son île et ses richesses culturelles. À travers ses créations, il a choisi de mettre en lumière la beauté de La Réunion, en particulier ses traditions et ses paysages, afin de les faire découvrir sous un nouvel angle, tant aux locaux qu’aux touristes.
Son travail d’affiches, exposé actuellement à la Bibliothèque Universitaire Saint-Denis Éducation, est le reflet de cet amour pour son île. Ces œuvres sont conçues comme des fenêtres ouvertes sur la diversité et la richesse culturelle réunionnaise, dans le but de susciter curiosité et émerveillement. Pour Yohann Turpin, cette exposition est une manière concrète de contribuer à la vie étudiante et de participer à la décoration d’un lieu qu’il affectionne particulièrement, la BU, où il passe beaucoup de temps à lire et travailler. Porté par l’envie de partager sa vision de La Réunion avec un public plus large, Yohann Turpin aspire à développer sa marque, Vectora, tant localement qu’en métropole. Cette initiative lui permettra de faire connaître davantage ses créations et de diffuser l’image de La Réunion au-delà des frontières de l’île.

vectora.re

Foire aux dons pour les étudiants

La 5e édition de la Foire aux dons se tiendra :

Jeudi 11 septembre
Campus Tampon : parvis de la BU Tampon de 09H00 à 14H00
Campus du Tampon

Jeudi 16 octobre
Campus du Moufia : BU Saint-Denis Droit-Lettres de 09H00 à 16H00
Campus du Moufia

Les étudiants pourront adopter des objets pour s’équiper gratuitement : objets, vaisselle, petit mobilier, vêtements, bibelots, linge de maison, matériel de camping-randonnée, petit électroménager, etc… Une nouvelle vie pour plus de 2 000 objets !

L’évènement se veut donc social mais également écologique, puisqu’il s’agit d’objets de seconde main en quête d’un nouveau propriétaire et qui ont été collectés dans les bibliothèques universitaires depuis le mois d’avril. Des dons en provenance des étudiants, du personnel, mais aussi d’extérieurs touchés par un contexte sociétal de plus en plus marqué par la précarité étudiante.

Avec cette action, les bibliothèques et de Service Santé Étudiante visent un accompagnement renforcé des étudiants, notamment au titre de leurs conditions de vie.


Cette année, la Foire aux dons a bénéficié du soutien exceptionnel du Inner Wheel Club de Saint-Denis.
Un événement en partenariat avec la misson éco-campus.

Devenez tuteur et aidez d’autres étudiants à réussir

L’Université de La Réunion propose des emplois étudiants dans les domaines suivants :

  • Animations sportives (SUAPS)
  • Animations Art & Culture (SUAC)
  • Santé (SSE)
  • Soutien informatique, aide à l’utilisation des nouvelles technologies , multimédia audiovisuel (D2IP)
  • Accompagnement dans la réalisation de mission d’aide aux étudiants (SEMH)
  • Vie étudiante (DVEC)

Tutorat pour l’accompagnement des étudiants inscrits dans les composantes suivantes :

  • UFR Droit et Economie
  • UFR Sciences Humaines et de l’Environnement
  • UFR Lettre et Sciences Humaines
  • UFR ST Sciences et Technologies

Pré-requis :

  • Être inscrit à l’Université de La Réunion pour la période 2025-2026
  • Faire preuve de qualité d’écoute, de dynamisme et de pédagogie.

Inscription en ligne sur le formulaire :

Dossier de candidature :

  • Lettre de motivation
  • Curriculum vitae

Paiement : SMIC horaire en vigueur

Scènes de vie en couleurs – être soi au milieu des autres

Exposition jusqu’au 08 octobre – Vernissage le 17 septembre à 17h00

Cette exposition présente une série de tableaux à l’huile illustrant des scènes de la vie quotidienne, accompagnés de textes qui interrogent la manière dont chacun trouve du sens dans sa vie et dans ses relations.

Chaque œuvre invite le spectateur à une réflexion personnelle sur son propre rapport aux autres et sur les multiples façons d’exister en société tout en restant fidèle à soi-même.

Objectif

  • Éveiller la réflexion sur l’identité et la vie en société.
  • Présenter des scènes du quotidien sous un prisme artistique.
  • Encourager le dialogue et l’introspection.
  • Offrir une expérience immersive et sensible.

Nous souhaitons que chaque visiteur reparte avec une réflexion personnelle sur sa propre manière d’exister au sein d’un groupe et qu’il puisse s’identifier ou se questionner à travers les scènes de vie représentées.

L’exposition vise à faire émerger des émotions et des discussions, tout en offrant un regard sensible et coloré sur l’être-soi et le vivre-ensemble.