Ce film percutant révèle les défis, les inégalités et les avancées dans quête constante de l’égalité entre femmes et hommes à travers le monde. Il nous invite à nous interroger et à agir pour un avenir plus juste et équilibré. « DES FEMMES ET DES HOMMES » a été sélectionné au Festival de Cannes 2016.
La projection sera suivie d’échanges animés par la réalisatrice Frédérique BEDOS, présente lors de cette soirée.
Nous vous donnons rendez-vous le mardi 27 juin 2023 de 18h00 à 21h00 en amphithéâtre bioclimatique (550) sur le campus du Moufia. Entrée gratuite sur réservation
Zoom sur la réalisatrice
Frédérique BEDOS est une journaliste, réalisatrice et productrice reconnue qui a travaillé pour des médias de renommée internationale tels que Fashion & Design TV à New York, MTV à Londres, France 2 et Europe 2. Passionnée par les questions sociales et les droits humains, elle est la fondatrice du Projet Imagine, une association internationale (ONG), reconnue par l’ONU qui vise à inspirer et à mobiliser le public en faveur d’une société plus juste, inclusive et durable.
En 2023, Frédérique, continue d’être une voix puissante dans les médias, utilisant son talent pour faire la lumière sur les questions d’Égalité et de justice sociale.
Les élections des représentants des personnels au Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche (CNESER) se dérouleront à l’urne le jeudi 15 juin 2023,
En salle des Conseils Jena-Claude MIRÉ, sur le campus du Moufia
En salle des Conseils de l’UFR SHE
Retrouvez toutes les informations relatives aux élections sur notre page.
Le lundi 5 juin et le mardi 6 juin, nous avons accueilli en immersion à l’ESIROI les collégiens encordés de Terre Sainte, des Tamarins, de Plateau Goyaves et de Jean Lafosse. Cette expérience a permis aux jeunes élèves de découvrir l’école d’ingénieur.e.s de l’Université de la Réunion et de s’immerger pendant quelques heures dans la peau d’un.e élève ingénieur.e ESIROI.
Notre objectif est d’encourager les jeunes dans leur parcours éducatif et de les soutenir dans leur orientation vers les études supérieures.
Ils entendent coopérer au sein d’EURESTRA, une université européenne, pour une transformation responsable.
EURESTRA est composée de 12 universités de recherche qui partagent une vision commune transversale de l’Europe et un engagement dans le monde, notamment en Afrique. Ces universités, complémentaires, sont liées par des ressources et valeurs partagées, ayant déjà fait leur preuve en terme de réalisations communes. Elles sont situées dans 10 pays différents d’Europe centrale, orientale, septentrionale et méridionale, y compris dans les Balkans, ainsi que dans une région ultrapériphérique de l’Europe, La Réunion.
Membres :
Allemagne – Université de Bayreuth
Bosnie-Herzégovine – Université de Sarajevo France – Université Bordeaux-Montaigne France – Institut Sciences Po Bordeaux
France – Université de La Réunion
Grèce – Université d’économie et de commerce d’Athènes Italie – Université de Naples L’Orientale
Pologne – Université de Szczecin
Portugal – Université de Trás-os-Montes et Alto Douro Suède – Mid Sweden University
Espagne – Université Pablo de Olavide
République tchèque – Université de Hradec Kralove
Grâce à l’expertise académique et à l’expérience opérationnelle d’EURESTRA dans le monde entier, nous entendons développer une collaboration globale au sein de notre réseau académique mondial qui se concentre sur l’innovation et l’impact en Europe et au-delà, en encourageant l’excellence et le renforcement conjoint des capacités avec nos partenaires stratégiques, pour servir une diversité multiple d’étudiants, de personnels, d’apprenants tout au long de la vie et d’acteurs sociaux.
La vision d’EURESTRA pour une transformation responsable
La transformation responsable dans l’enseignement supérieur européen s’applique à la formation des étudiants, du personnel et des enseignants, ainsi qu’à l’ensemble des écosystèmes du campus et de la société. Elle fait référence à plusieurs concepts, activités et processus. Elle couvre les grands domaines de transformation de l’engagement dans l’enseignement supérieur, tels que la responsabilité sociétale des établissements d’enseignement supérieur, y compris l’internationalisation de l’enseignement supérieur pour la société (IHES) axée sur la mission sociale des universités (SMU), la transition verte et la transformation numérique de l’enseignement supérieur, de ses écosystèmes et de ses sociétés, un cadre éthique de la multi dimensionnalité historique et culturelle, incluant la négociation d’une décolonisation responsable de l’enseignement supérieur.
EURESTRA vise à fournir une perspective globale sur les relations entre l’Europe et le reste du monde, en particulier avec l’Afrique, dans le contexte de transformations mondiales difficiles. Elle se veut être une plateforme d’échange pour l’enseignement supérieur au-delà des frontières et continents.
Les 12 partenaires développeront des programmes interdisciplinaires conjoints entre eux et avec des établissements d’enseignement supérieur sélectionnés dans notre réseau universitaire mondial, avec des approches pédagogiques innovantes et des méthodologies pionnières en matière d’éducation et de recherche. Toutes les activités répondront à la demande croissante de durabilité en mettant l’accent sur la diversité et l’inclusion.
Les partenaires sont déjà liés par des programmes et des activités communs, tels que les masters conjoints Erasmus Mundus, les doctorats conjoints et les programmes de double diplôme, les programmes intensifs mixtes ainsi que la mobilité des étudiants et du personnel.
Le CNRIUT est le rendez-vous annuel des IUT. Pendant trois jours, enseignants-chercheurs, doctorants et partenaires, locaux et nationaux échangeront sur leur travaux de recherche et leur capacité d’innovation au sein de leur institut.
Ce moment d’échanges privilégié entre les différents acteurs des IUT marque un temps fort de l’IUT de La Réunion, dont l’attractivité sur le territoire, de part ses enseignements, sa pédagogie, sa recherche et son innovation n’est plus à prouver.
Ancré sur son territoire, l’IUT de La Réunion promeut la recherche comme élément essentiel de la professionnalisation des étudiant•e•s. Au sein des programmes pédagogiques des Bachelors Universitaires de Technologie, la mise en œuvre de pédagogies variées dans des espaces de travail différents (plateformes technologiques, laboratoires au sein des IUT, universités ou entreprises, Fablab) permet de faire découvrir le monde de la recherche aux étudiant•e•s
Cette première journée a débuté par une ouverture officielle en présence de :
Frédéric MIRANVILLE, Président de l’Université de La Réunion,
Martial MARTIN, Président de l’Assemblée des Directeurs d’IUT (ADIUT)
Béatrice SIGISMEAU, 2ème adjointe au maire de Saint-Pierre et vice-Présidente du Conseil Départemental
Jean-Pierre CHABRIAT, délégué au Conseil Régional à l’Enseignement Supérieur, la recherche et la transition énergétique, représentant Mme la Présidente de la Région Réunion
Emeline K’BIDI, Députée de circonscription
La séquence s’est poursuivie par une table ronde sur la particularité de la Recherche, du Développement, et de l’Innovation à La Réunion et des séances plénières et ateliers dans l’après-midi.
L’IUT de La Réunion
Créé en 1994 seul IUT de la zone océan Indien, l’IUT de La Réunion est une composante qui, malgré sa jeunesse, s’est déjà imposée sur le territoire réunionnais. Prisé par nos bacheliers, ses BUT, (Bachelors Universitaires de Technologie) attractifs et accessibles, permettent de former en trois ans des cadres intermédiaires aptes à s’insérer sur le marché du travail local, national voire international.
Les qualités professionnelles acquises pendant un cursus universitaire sont reconnues et demandées par les entreprises : esprit d’innovation, d’analyse, autonomie, curiosité, créativité…
Cette initiative fait écho au partenariat signé le 4 octobre 2022 actant la création d’un campus au cœur de la commune de Saint-André, sur une parcelle de 10 hectares au sein du parc du Colosse.
Notre établissement est réparti sur sept sites principaux, qui occupent plus de 30 hectares d’emprise foncière. Il a connu depuis sa création en 1982, une croissance forte et continue. Le territoire réunionnais étant par ailleurs confronté à plusieurs transitions majeures – démographique, sociale, énergétique et écologique – notre établissement se doit donc de répondre à de fortes attentes et enjeux, tant de ses usagers que de ses partenaires institutionnels et du monde socio-économique. Dans cette optique, nous souhaitons développer une stratégie d’établissement selon les quatre axes majeurs :
Axe 1 : Développer une offre de formation favorisant la réussite de l’ensemble des publics accueillis par l’Université de La Réunion et adaptée à son territoire ;
Axe 2 : Consolider les pôles d’excellence scientifiques autour de la science de la durabilité (sciences de l’environnement et de la recherche en santé en articulation avec les sciences de l’Homme et de la Société) ;
Axe 3 : Conforter le positionnement stratégique de l’Université de La Réunion dans son environnement régional et extrarégional ;
Axe 4 : Renforcer les fonctions de pilotage mises au service de la stratégie et amorcer un nouveau cycle d’extension.
Ces orientations ont été contractualisées le 19 novembre 2021, entre l’Université de La Réunion et le Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation à travers un Contrat Quinquennal s’étalant sur la période 2020-2025.
Ce projet entre dans le cadre de l’ensemble des projets économiques et d’infrastructures menés par la collectivité municipale de Saint-André. L’Université permettra demain de former tous les jeunes de la microrégion et stimulera le développement et l’activité économique.
Ce nouveau campus de proximité participera au rééquilibrage territorial dans cette micro-région qui accuse actuellement de multiple retards structurels. Ce projet d’envergure s’inscrit dans la logique du développement du bassin Est et le contrat d’établissement signé entre l’Université de La Réunion et le Ministère de l’Enseignement Supérieur (2021-2025) vient confirmer la volonté de créer cette infrastructure structurante pour le territoire.
"Dans cette optique, la visite des sites gérés par CY Paris Universités a permis de faire le constat de ce qui ce fait de mieux en matière d'intégration d'une université dans son environnement, à la fois local, territorial et régional. Cela nous a donné de belles idées à suivre pour l'implantation du futur campus de l'Université de La Réunion à Saint-André, que nous souhaitons à la pointe en matière de développement durable et d'espace de travail et d'étude de grande qualité !"
Frédéric MIRANVILLE, Président de l'Université de La Réunion
Une visite qui permettra de mieux appréhender l’apport, à la fois économique, sociologique mais également écologique de l’implantation d’un campus pour le bassin Est dont les habitants se déplacent majoritairement pour rejoindre leurs lieux d’études ou de travail.
Le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI) est en charge de la préparation et la mise en œuvre de la politique du gouvernement relative au développement de l’enseignement supérieur, à la recherche et à la technologie. Une rencontre privilégiée s’est tenue entre Monsieur Frédéric MIRANVILLE, Président de l’Université de La Réunion et Madame Sylvie RETAILLEAU, Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche.
« Pouvoir présenter l’établissement au national ou à l’international et le faire rayonner en dehors du territoire – a fortiori auprès du MESRI, est un objectif important. Avec 19 000 étudiant·s·, notre institution est la plus grande université ultramarine, la première force de recherche de La Réunion et les projets sont nombreux. Madame La Ministre y a été sensible et je la remercie pour son écoute et son accompagnement »,
Frédéric MIRANVILLE, Président de l'Université de La Réunion
Aujourd’hui, l’Université de La Réunion bénéficie d’une offre de formation de 200 diplômes nationaux et presque autant de diplômes d’université. Reconnu scientifiquement à l’international, notamment pour les sciences de l’atmosphère avec une entrée au classement de Shangaï en 2022, l’établissement se distingue également dans le domaine de l’écologie, de la santé, de la biodiversité…
Parmi les sujets présentés à Madame La Ministre, ont été évoqués :
La sélection du projet de l’Université de La Réunion pour la création d’un Campus Franco-Indien : Lancé officiellement le 27 avril 2023 à Vellore (Inde), le projet de campus franco-indien « ILIADE » (Innovation par les plantes et l’IA pour l’Inde et la France) porté par l’Université de La Réunion et le Vellore Institute of Technology (VIT) aux côtés de six autres partenaires français et indiens, a pour but de renforcer la coopération universitaire et scientifique bilatérale France-Inde autour des thématiques stratégiques des sciences de la vie et de la santé. Parmi les avancées permises par ce campus franco-indien : les étudiants français, indiens et de la zone pourront désormais bénéficier d’un cursus complet et structuré Licence-Master-Doctorat (LMD) et un Master en biotechnologie sera créé.
La mise en place du second cycle de médecine dès septembre 2023 : en effet, l’Université de La Réunion, via sa Faculté de Santé, se positionne résolument pour la poursuite du développement de la filière Santé, répondant ainsi à une attente forte du territoire et de la zone océan Indien en matière de formation de médecins et de professionnels de santé de haut-niveau. Après le premier cycle et le troisième cycle, l’établissement souhaite porter la mise en place progressive du 2ème cycle, afin de disposer de l’ensemble du cursus de Santé et de délivrer le diplôme de formation approfondie en sciences médicales (DFASM) à l’issue de l’année universitaire 2025-2026. Ce jeudi 11 mai, les administrateurs·rices du Conseil d’administration ont approuvé le dossier d’accréditation soutenant cette demande adressée au Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et au Ministère de la Santé et de la Prévention. Jusqu’en 2022, les étudiants en médecine de l’Université de La Réunion poursuivaient leur cursus en deuxième cycle en métropole, au sein d’une trentaine de facultés, dans le cadre de conventions établies sur une base totale de 142 places. Pour l’année universitaire 2019-2020, le numerus clausus était de 110 étudiants en médecine. En 2020-2021, les capacités d’accueil en santé ont été significativement augmentées, passant à 175 en médecine : l’Université de la Réunion a fait le choix de maintenir cette capacité d’accueil élargie les années suivantes en réponse aux besoins du territoire océan Indien, générant un afflux d’étudiants supplémentaires et motivant ainsi la création d’un deuxième cycle sur site.
Les projets recherche et notamment le projet porté dans le cadre de l’appel à projet ExcellencES nommé ICCARIO a été abordé. ICCARIO sera un institut distribué, multi-acteurs, regroupant l’Université de La Réunion, des partenaires académiques (CUFR Mayotte, École supérieure d’art de La Réunion, École supérieure d’architecture de La Réunion), des organismes et partenaires de recherche (CNRS, Ifremer, Inserm, Météo France, CHU, CYROI), des collectivités territoriales (CIVIS, Département de La Réunion, Terres australes et antarctiques françaises, Ville du Tampon), et des partenaires socio-économiques (Technopole Mayotte, CRESS La Réunion, CMA La Réunion, Qualitropic). Prévu sur 10 ans, et basé sur un budget de plus d’un million, il se déploie à l’échelle d’un bassin géographique en y initiant un processus de structuration de l’ESRI respectant la trajectoire de ses partenaires. ICCARIO est profondément transformant pour ses acteurs, inaugurant de nouvelles modalités de pilotage de la recherche, de la formation et de l’innovation aux interfaces sur le thème de la résilience face au changement climatique, marquant une signature forte de la région océan Indien. En termes de recherche et d’innovation, ICCARIO démarrera avec 6 thématiques (gestion et prévention des risques ; environnement et préservation de la biodiversité ; agroécologie durable et souveraineté alimentaire ; santé globale et vulnérabilité sanitaire ; économie de la résilience et adaptation sociale ; énergies renouvelables, et infrastructures, matériels et villes durables) qui se développeront par des Chaires seniors environnées et des appels à projets transversaux. Il déploiera une approche innovante de la formation basée sur les compétences transversales et l’apprentissage par la pratique, notamment à travers la pérennisation de l’École Bleu Outre-Mer et par la mise en place d’un Skills center orienté vers l’acquisition de compétences clés pour faire face aux impacts du changement climatique sur les socio-écosystèmes. Cette démarche s’accompagnera d’une stratégie d’internationalisation dans l’océan Indien et au-delà (Comores, Madagascar, Seychelles, Inde par exemple).
Lors de l’assemblée générale de France universités (FU), la Ministre a également pu présenter les perspectives de développement des établissements de l’ESR et notamment les thématiques d’industrie verte, de carrière des enseignants et enseignants chercheurs, la loi de programmation recherche, la réforme des bourses, l’accès au logement et à la restauration.
Monsieur le Président de FU, Guillaume GELLÉ, a dressé un bilan de cette première année de mandature à la tête de l’association, dont l’Université de La Réunion est membre, au sein du Conseil d’administration.
Les 11, 12 et 13 mai 2023, Mme Elisabeth BORNE, Première Ministre de la République, accompagnée de M. Marc FESNEAU, Ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, M. Christophe BÉCHU, Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, M. Jean-François CARENCO, Ministre délégué chargé des Outre-mer et M. Olivier KLEIN, Ministre délégué chargé de la Ville et du Logement, se sont déplacés sur notre territoire pour une visite officielle axée sur l’économie, l’écologie, la formation, l’emploi et le logement. Au nom de Université de La Réunion, le Président Frédéric MIRANVILLE a eu le plaisir de participer aux différentes séquences et d’accueillir, avec des membres de l’équipe de direction et les collègues concernés, la délégation ministérielle lors d’une visite de l’Observatoire de Physique de l’atmosphère (OPAR), situé au Maïdo.
Jeudi, la première journée de cette visite ministérielle s’est clôturée par une rencontre entre la Première Ministre et les acteurs économiques de l’île au sein de la Préfecture à Saint-Denis. L’Université de La Réunion, pleinement engagée au service de son territoire de par les plus de 200 formations proposées, l’ambition d’insertion sociale et professionnelle qu’elle vise et la recherche d’excellence qu’elle développe, en faisait partie. Cette séquence a permis de présenter l’institution, seule université réunionnaise, française et européenne de l’océan Indien, ses défis et ses projets. Un temps d’échange précieux qui s’est prolongé vendredi lors d’une réunion privilégiée avec le Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, Christophe BÉCHU.
Profondément engagée sur les thèmes de l’écologie et du développement durable, l’université a pu échanger sur ses objectifs stratégiques en la matière et notamment le développement de campus de référence en écologie tropicale valorisant les savoir-faire universitaires, la création des sites vivants pour et par les usagers et la mise en oeuvre d’une stratégie immobilière responsable et durable, en lien avec nos partenaires et notamment le Département de la Réunion, qui porte le Plan 1 million d’arbres.
Enfin, nous avons eu le plaisir d’accueillir Mme la Première Ministre et les Ministres précités à l’Observatoire de Physique de l’Atmosphère de La Réunion (OPAR) samedi 13 mai, en présence M. Jean-Pierre CAMMAS, Directeur de l’Observatoire des Sciences de l’Univers à La Réunion (OSUR), M. Joël VAN BAELEN, Directeur du Laboratoire de Physique de l’atmosphère et des cyclones (LACy), M. Valentin DUFLOT, responsable scientifique de l’OPAR ainsi que des membres de l’équipe présidentielle et de direction de l’Université de La Réunion.
Créé en 2003, l’OPAR possède aujourd’hui trois sites de mesures distincts dans l’île : le site du Moufia, l’aéroport de Gillot et la station d’observation du Maïdo, qui existe depuis dix ans. Cette dernière, située à 2 160m d’altitude, permet à nos scientifiques de surveiller le climat tropical de l’hémisphère Sud. De par son altitude idéale, c’est l’un des rares observatoires au monde permettant l’analyse de la composition atmosphérique de grande échelle la nuit et de petite échelle en journée. Ces atouts d’observation ont d’ailleurs conféré à l’OPAR le label WMO-GAW Global décerné par l’Organisation Météorologique Mondiale, en novembre 2022 et plaçant l’observatoire dans les 30 stations d’observation mondiales de ce niveau de qualité. La délégation ministérielle a donc pu visiter ce site d’exception hébergeant une recherche d’excellence, reconnue à l’international. L’année dernière, l’Université de La Réunion a d’ailleurs fait son entrée au sein du prestigieux classement de Shanghai, pour la thématique des sciences de l’atmosphère.
Personnage fictif au bord de la réalité, Judith est une chanteuse de cabaret. Après un long voyage autour du monde, elle vient vous raconter son histoire, accompagnée de son guitariste. Même si ses aventures sont pleines de rebondissements inattendus, chacun-e pourra s’identifier à Judith et être touché·e par sa courageuse naïveté. Toujours victime de ses élans, elle traverse des situations invraisemblables, qu’elle raconte avec un sérieux déconcertant. Récit d’aventure à épisodes, son histoire commence à Binche, en Belgique, et se termine à La Réunion, devant vous, en musique.
